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Qui suis-je ?
Titulaire d'un BTS diététique et d'une licence de psychologie, j'ai toujours rêvé de travailler dans le domaine de la santé.
Après un Erasmus à Varsovie où j'ai suivi un cours passionnant sur les troubles du comportement alimentaire, j'ai commencé à étudier la physiologie et la nutrition pendant l'été.
C'est ainsi que j'ai découvert une nouvelle passion et que j'ai décidé de devenir diététicienne. Le lien entre la diététique et la psychologie ne cesse de me fasciner...

Pourquoi ces spécialités ?
Surpoids et obésité
Si je suis devenue diététicienne, c'est aussi parce que j'avais envie d'être la professionnelle de santé que je n'ai jamais eue. Une professionnelle bienveillante, qui comprendrait ce que je vis et qui saurait vraiment m'aider grâce à son expertise. Être diététicienne, c'est donc vraiment mon métier de cœur. Et si j'ai envie de vous aider, c'est aussi parce que :

Photo de SHVETS production: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/femme-tranquille-faire-du-sport-sport-6975413/
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Je veux contribuer à rendre notre monde plus inclusif envers les personnes en surpoids/obèses ;
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Je souhaite que l'on cesse de stigmatiser et de juger sur la base de l'apparence physique ;
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Je veux faire en sorte que vous puissiez avoir accès aux soins sans souffrir de grossophobie ;
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Je veux promouvoir une autre manière d'être bien dans son corps et en bonne santé, sans à tout prix perdre X kilos en X temps.
Tout cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas perdre de poids, mais que les méthodes pour y parvenir sont très souvent douteuses, dangereuses pour la santé et vouées à l'échec.
C'est un fait, les régimes sont dangereux selon la communauté scientifique (rapport de l'Anses, 2011). La perte de poids n'est donc pas anodine.
Par ailleurs, la communauté scientifique estime que la nutrition et le sport ne suffisent pas pour traiter le surpoids et l'obésité.
Si je suis passionnée par ce travail, c'est parce que je sais à quel point la grossophobie peut être dévastatrice. J'en ai moi-même été victime.
Aujourd'hui, j'ai amélioré ma relation avec l'alimentation et mon corps. Je suis tellement reconnaissante d'avoir enfin trouvé l'aide dont j'avais besoin ! Alors c'est vrai, j'aimerais que tout cela, ça vous arrive aussi !
Syndrome de l'intestin irritable et endométriose
Eh non ! Les diététiciens ne servent pas qu'à faire perdre du poids ! Ils interviennent aussi pour améliorer la qualité de vie des personnes malades grâce à l'alimentation.
Après avoir obtenu mon BTS diététique, je me suis interrogée : pourquoi n'a-t-on pas parlé de la prise en charge diététique de l'endométriose ou encore du syndrome de l'intestin irritable ?

Photo de cottonbro studio: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/femme-lit-femelle-malade-6542698/
Depuis toute jeune, je souffre de douleurs digestives et de règles douloureuses. Ma qualité de vie est fortement impactée, encore aujourd'hui. Je sais que je ne suis pas la seule dans cette situation... Vous qui lisez ce texte, vous souffrez peut-être aussi de douleurs digestives chroniques, d'errance médicale...
Alors en tant que professionnelle de santé et patiente, j'aimerais que :
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plus de professionnels de santé soient formés à la prise en charge du syndrome de l'intestin irritable et de l'endométriose pour moins d'errance médicale ;
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la société comprenne mieux les maladies chroniques et soit plus inclusive. Non, ce n'est pas (que) le stress. Et non, on ne fait pas exprès d'avoir mal, ou d'être fatigué.e !
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Qu'on puisse soulager nos symptômes. Et pour cela, il faut faire connaître les traitements efficaces et faire avancer la recherche pour ceux chez qui les traitements actuels ne fonctionnent pas.
Pour agir en ce sens, je me suis formée à la prise en charge de l'endométriose, du SII et au régime pauvre en FODMAPs.
Mon objectif premier : vous aider à améliorer vos symptômes, que ce soit pour l'endométriose et/ou le syndrome de l'intestin irritable.
Mon approche
"L'équilibre dans l'assiette et le bonheur dans la tête !"
L'alimentation équilibrée est aussi un plaisir
L'alimentation équilibrée ne se résume pas à une simple question de nutriments.
Elle est le fruit d'un équilibre subtil entre trois piliers fondamentaux : la santé physique, mentale et sociale.
La santé physique

Photo de Noelle Otto: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/femme-en-robe-sans-manches-marron-et-jean-bleu-debout-sur-chemin-gris-route-906106/
Couvrir nos besoins en énergie, vitamines, minéraux et protéines est essentiel pour préserver notre organisme et le protéger des maladies. Une alimentation saine et variée constitue la base de notre bien-être physique.
La santé mentale

Photo de Natalie Bond: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/photo-de-femme-meditant-3759657/
Manger est aussi un acte qui influence notre état mental. Respecter nos envies, manger sans culpabilité et être à l'écoute de nos sensations alimentaires contribuent à notre équilibre émotionnel.
La santé sociale

Photo de Askar Abayev: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/reunion-de-famille-a-table-de-fete-5638732/
La santé sociale : l'alimentation est un élément central de la vie sociale. Savoir concilier une alimentation saine avec les contraintes et les moments conviviaux de la vie sociale est essentiel pour notre bien-être mental et pour entretenir des liens durables avec nos proches.
Trouver l'harmonie : des choix conscients
L'équilibre entre ces trois piliers ne se trouve pas toujours naturellement. Des choix conscients sont nécessaires pour composer une alimentation qui nourrit à la fois notre corps et notre esprit. De la connaissance nutritionnelle au respect de nos envies et besoins, chaque décision participe à notre bien-être global. L'alimentation équilibrée n'est pas une contrainte, mais un chemin vers une vie plus saine et plus heureuse.

Photo de Vanessa Loring: https://www.pexels.com/fr-fr/photo/legumes-tranches-sur-plaque-en-ceramique-blanche-5966434/